Europe : Différence entre versions

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* "L'Europe est à présent trop petite pour des souverainetés querelleuses et indépendantes. Une Europe fragmentée est à présent trop petite pour préserver sa nature individuelle et rester en paix tout en se maintenant comme une puissance dans le monde." - Cécile von Renthe-Fink, Note sur l'établissement d'une confédération européenne, août 1943.
 
* "L'Europe est à présent trop petite pour des souverainetés querelleuses et indépendantes. Une Europe fragmentée est à présent trop petite pour préserver sa nature individuelle et rester en paix tout en se maintenant comme une puissance dans le monde." - Cécile von Renthe-Fink, Note sur l'établissement d'une confédération européenne, août 1943.
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* « L’Europe, hormis au sens géographique, est une construction totalement artificielle. Cela n’a aucun sens d’agglomérer Beethoven et Debussy, Voltaire et Burke, Vermeer et Picasso, Notre Dame et St Paul, le bœuf bouilli et la bouillabaisse, et de les dépeindre comme les éléments d’une réalité musicale, philosophique, artistique, architecturale ou gastronomique européenne. Si l’Europe nous enchante, comme elle m’a si souvent enchantée, c’est précisément par ses contrastes et ses contradictions, et non par sa cohérence et sa continuité. » - M. Thatcher, 2002, Statecraft: Strategies for a Changing World
  
 
* "On parle souvent d’Europe, c’est un mot auquel, en France, on n’est pas encore très habitué. On aime son pays parce qu’on aime son village. Pour moi, Français, je voudrais que demain nous puissions aimer une Europe dans laquelle la France aura une place qui sera digne d’elle. Pour construire cette Europe, l’Allemagne est en train de livrer des combats gigantesques. Elle doit, avec d’autres, consentir d’immenses sacrifices. Et elle ne ménage pas le sang de sa jeunesse. Pour la jeter dans la bataille, elle va la chercher dans les usines et aux champs. Je souhaite la victoire de l’Allemagne, parce que, sans elle, le bolchevisme, demain, s’installerait partout. Ainsi donc, comme je vous le disais le 20 avril dernier, nous voilà placés devant cette alternative : ou bien nous intégrer, notre honneur et nos intérêts vitaux étant respectés, dans une Europe nouvelle et pacifiée, ou bien nous résigner à voir disparaître notre civilisation." - Pierre Laval, « Allocution radiodiffusée du 22 juin 1942 », Les Nouveaux Temps, 24 juin 1942.  
 
* "On parle souvent d’Europe, c’est un mot auquel, en France, on n’est pas encore très habitué. On aime son pays parce qu’on aime son village. Pour moi, Français, je voudrais que demain nous puissions aimer une Europe dans laquelle la France aura une place qui sera digne d’elle. Pour construire cette Europe, l’Allemagne est en train de livrer des combats gigantesques. Elle doit, avec d’autres, consentir d’immenses sacrifices. Et elle ne ménage pas le sang de sa jeunesse. Pour la jeter dans la bataille, elle va la chercher dans les usines et aux champs. Je souhaite la victoire de l’Allemagne, parce que, sans elle, le bolchevisme, demain, s’installerait partout. Ainsi donc, comme je vous le disais le 20 avril dernier, nous voilà placés devant cette alternative : ou bien nous intégrer, notre honneur et nos intérêts vitaux étant respectés, dans une Europe nouvelle et pacifiée, ou bien nous résigner à voir disparaître notre civilisation." - Pierre Laval, « Allocution radiodiffusée du 22 juin 1942 », Les Nouveaux Temps, 24 juin 1942.  

Version actuelle datée du 18 février 2020 à 08:35

m.c.: URSS, UE,

L'Europe bureaucratique d'aujourd'hui, fille des belles idées d'hier.


Citations

  • "Les peuples d'Europe représente une seule famille dans le monde. Il n'est pas très intelligent d'imaginer que dans un espace aussi étroit que celui de l'Europe, une communauté de peuples puisse longtemps maintenir des systèmes de lois reposant sur des conceptions différentes." - Adolf Hitler, Discours au Parlement, 7 mars 1936.
  • "Une fédération européenne, basée sur les mêmes principes que ceux de l'Allemagne fédérale, mènerai à une Europe désarmée, formant un bloc solide dans lequel chaque pays conserverait sa propre administration, ses propres coutumes et religions. L'abolition des barrières douanières créerai une grande Autarcie européenne, avec la prévalence du libre-échange sur le Continent." - Otto Strasser, Hitler and I (1940), p.82.
  • "L'Europe est à présent trop petite pour des souverainetés querelleuses et indépendantes. Une Europe fragmentée est à présent trop petite pour préserver sa nature individuelle et rester en paix tout en se maintenant comme une puissance dans le monde." - Cécile von Renthe-Fink, Note sur l'établissement d'une confédération européenne, août 1943.
  • « L’Europe, hormis au sens géographique, est une construction totalement artificielle. Cela n’a aucun sens d’agglomérer Beethoven et Debussy, Voltaire et Burke, Vermeer et Picasso, Notre Dame et St Paul, le bœuf bouilli et la bouillabaisse, et de les dépeindre comme les éléments d’une réalité musicale, philosophique, artistique, architecturale ou gastronomique européenne. Si l’Europe nous enchante, comme elle m’a si souvent enchantée, c’est précisément par ses contrastes et ses contradictions, et non par sa cohérence et sa continuité. » - M. Thatcher, 2002, Statecraft: Strategies for a Changing World
  • "On parle souvent d’Europe, c’est un mot auquel, en France, on n’est pas encore très habitué. On aime son pays parce qu’on aime son village. Pour moi, Français, je voudrais que demain nous puissions aimer une Europe dans laquelle la France aura une place qui sera digne d’elle. Pour construire cette Europe, l’Allemagne est en train de livrer des combats gigantesques. Elle doit, avec d’autres, consentir d’immenses sacrifices. Et elle ne ménage pas le sang de sa jeunesse. Pour la jeter dans la bataille, elle va la chercher dans les usines et aux champs. Je souhaite la victoire de l’Allemagne, parce que, sans elle, le bolchevisme, demain, s’installerait partout. Ainsi donc, comme je vous le disais le 20 avril dernier, nous voilà placés devant cette alternative : ou bien nous intégrer, notre honneur et nos intérêts vitaux étant respectés, dans une Europe nouvelle et pacifiée, ou bien nous résigner à voir disparaître notre civilisation." - Pierre Laval, « Allocution radiodiffusée du 22 juin 1942 », Les Nouveaux Temps, 24 juin 1942.
  • "Peu importe les intentions de la Communauté, elle obtenait toujours le résultat contraire. Le marché unique prétendait "déréguler" et avait produit le plus grand nombre de règles de l'histoire humaine. Une "réforme" de la Pac visant à diminuer la surproduction et les gaspillages de crédits eut pour conséquence une augmentation de la production de nourriture inutile pour un coût encore plus grand. La Politique commune de la pêche, aspirant à "conserver les réserves halieutiques européennes", avait entraîné une crise écologique. On aurait pu imaginer que le marché unique avait stimulé la croissance et créé des emplois. C'était encore un mirage. Avant son lancement, la croissance moyenne des trois dernières années de l'UE languissait à 2.3%. Le taux de chômage moyen était de 8.5%. Après janvier 1993, le taux de croissance dévissa à 1.67% pendant quatre ans -le pire résultat enregistré par un des blocs économiques à la surface du globe- tandis que le chômage culminait à 10.9%, soit 20 millions de chômeurs. Il était désormais possible de comparer les réussites pratiques du projet européen avec les promesses mirobolantes dont les populations avaient été abreuvées." - Christopher Booker & Richard North, La Grande Dissimulation, L'Artilleur, coll. "Interventions", 2016 (2003 pour la première édition anglaise), 832 pages, p.470.
  • "L'Europe n'est pas la création du traité de Rome. De même que l'idée européenne n'est pas la propriété d'un groupe ou d'une institution. Nous autres, Britanniques, sommes aussi bien les héritiers de la culture européenne que n'importe quelle autre nation. Nos liens avec le reste de l'Europe, le continent de l'Europe, ont été le facteur dominant dans notre histoire. Pendant près de trois cents ans, nous fîmes partie de l'Empire romain et nos cartes dessinent encore les lignes droites des routes que les Romains bâtirent. Nos ancêtres -celtes, saxons et danois- venaient du continent." Prenant de la hauteur, elle rappela à son auditoire que l'Europe incluait aussi les pays à l'est du Rideau de fer. "Nous devons toujours regarder en direction de Varsovie, de Prague et de Budapest et y voir de grandes cités européennes. [...] Il est ironique qu'au moment où ces pays, tout comme l'URSS, qui ont tenté de tout gérer de manière centralisée, apprennent que le succès naît de la répartition du pouvoir et des décisions à la périphérie, que certaines personnes au sein de la Communauté veuillent suivre le chemin inverse. Nous n'avons pas repoussé avec succès les frontière de l'Etat en Angleterre pour nous les voir réimposées à un niveau européen, avec un super-Etat européen exerçant une nouvelle domination de Bruxelles." - M. Thatcher, Bruges, 20/09/1988


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