Zweig : Différence entre versions
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* "Avoir [[peur]], c'est mourir mille fois, c'est pire que la [[mort]]." - Stefan Zweig | * "Avoir [[peur]], c'est mourir mille fois, c'est pire que la [[mort]]." - Stefan Zweig | ||
− | * « Né en 1881 dans un grand et puissant empire [...], il m'a fallu le quitter comme un criminel. Mon œuvre littéraire, dans sa langue originale, a été réduite en cendres. Étranger partout, l'Europe est perdue pour moi... J'ai été le témoin de la plus effroyable défaite de la raison [...]. Cette pestilence des pestilences, le [[nationalisme]], a empoisonné la fleur de notre culture européenne » — Stefan Zweig, Le Monde d'hier. Souvenirs d'un Européen. | + | * « Né en 1881 dans un grand et puissant empire [...], il m'a fallu le quitter comme un criminel. Mon œuvre littéraire, dans sa langue originale, a été réduite en cendres. Étranger partout, l'Europe est perdue pour moi... J'ai été le témoin de la plus effroyable défaite de la raison [...]. Cette pestilence des pestilences, le [[nation|nationalisme]], a empoisonné la fleur de notre culture européenne » — Stefan Zweig, Le Monde d'hier. Souvenirs d'un Européen. |
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+ | * « Pour la première fois j'observais la folie de la pureté de la race, cette peste qui est devenue plus fatale à notre monde que la véritable peste dans les siècles passés » | ||
* Toute ma scolarité ne fut pour moi qu'ennui et dégoût, accrus d'année en année par l'impatience d'échapper à ce bagne. - Stefan Zweig | * Toute ma scolarité ne fut pour moi qu'ennui et dégoût, accrus d'année en année par l'impatience d'échapper à ce bagne. - Stefan Zweig |
Version du 22 novembre 2018 à 10:38
Citations
- « Autrefois, l’homme n’avait qu’un corps et une âme. Aujourd’hui, il lui faut en plus un passeport, sinon il n’est pas traité comme un homme. » - extrait du dernier livre écrit par Stefan Zweig, Le monde d’hier, Souvenirs d’un Européen
- « Né en 1881 dans un grand et puissant empire [...], il m'a fallu le quitter comme un criminel. Mon œuvre littéraire, dans sa langue originale, a été réduite en cendres. Étranger partout, l'Europe est perdue pour moi... J'ai été le témoin de la plus effroyable défaite de la raison [...]. Cette pestilence des pestilences, le nationalisme, a empoisonné la fleur de notre culture européenne » — Stefan Zweig, Le Monde d'hier. Souvenirs d'un Européen.
- « Pour la première fois j'observais la folie de la pureté de la race, cette peste qui est devenue plus fatale à notre monde que la véritable peste dans les siècles passés »
- Toute ma scolarité ne fut pour moi qu'ennui et dégoût, accrus d'année en année par l'impatience d'échapper à ce bagne. - Stefan Zweig